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Liste des commentaires Residence Louise de Marillac :

- Louise de Marillac (1591-1660). Reconnu par le Père Noël par l'Église catholique, il fut béatifié en 1920 et canonisé en 1934. Cela a aidé à fonder avec Vicent de Paul les 'Filles de la Charité'. Il peut aujourd'hui être vénéré dans la chapelle de la médaille miraculeuse à Paris.

Liste des commentaires Statue Équestre d'Anne de Montmorency :

- Magnifique château et ses jardins resplendissants a visiter en prenant son temps pour profiter du calme et de la sérénité de l'endroit.

Liste des commentaires Le Grand Canal :

- Beaucoup de choses intéressantes le long de ce canal.

Liste des commentaires Hôtel du Grand Condé :

- Un peu d' histoire… Construit en 1908 par la compagnie Ruhl, société d’exploitation d’hôtels de luxe et de casinos, le Grand Condé accueillit au début du XXe siècle toute la haute société parisienne à la saison des courses et des chasses à courre. Proposant tout le confort et une vue imprenable sur l’hippodrome, certaines de ses suites étaient louées à l’année par de riches propriétaires de chevaux. De 1914 à 1916, l’hôtel, vidé de ses touristes, accueillit le G. Q. G (Grand Quartier Général) du général Joffre. En 1940, les Allemands y installèrent leurs bureaux et services. A leur départ en 1944, les Américains prirent possession des lieux jusqu’en 1945. Des bals animés par un jazz band y étaient organisés sous les yeux ébahis des Cantiliens. Aujourd'hui, c' est une résidence privée.

Liste des commentaires La porte Saint-Denis :

- Pour accéder au château de Chantilly, le passage se fait par la porte Saint-Denis (A droite de la photo), une haute et imposante construction qui prolonge la cour du manège. Elle est surmontée d'une balustrade de pierre et est composée de trois arcades, dont une permet la circulation automobile. Il s'agit d'une construction inachevée puisque dans le prolongement de la cour ronde du manège, elle aurait dû avoir la même architecture. A la mort du prince, les Grandes Ecuries ne sont pas terminées. La porte Saint Denis, qui passe au-dessus de la route menant à la ville de Chantilly, devait initialement relier l’aile existante à celle qui était projetée.

- Porte de Saint Denis endroit unique pour y visité.

Liste des commentaires Les anciennes usines Guilleminot. :

- Un peu d' histoire… En 1858, Gustave Guilleminot (1830-1895) crée une fabrique de produits destinés à  la photographie : verres pour plaques en divers formats, collodion, papiers salés ou albumines ainsi que des cuvettes pour le développement, des objectifs, soit une bonne partie des accessoires dont les photographes du XIXe siècle avaient besoin. Le premier atelier est installé à  Paris mais l'essor de son entreprise oblige son fondateur à  ouvrir à  Aubervilliers une usine où sont élaborés les produits chimiques les plus demandés : nitrate d'argent, collodion. De cette usine, après la guerre franco-prussienne de 1870, il ne restera que des décombres. Ce désastre ne décourage pas Gustave Guilleminot qui ouvre à  Paris, dans un appartement de deux pièces, une fabrique de plaques au gélatino-bromure d'argent baptisées « La Parfaite ». Avec l'aide de son fils René, chimiste de formation, il développe l'entreprise et doit la transférer en 1893 à  Chantilly. L'une des filles de Gustave, Berthe, épousa en 1898, un Alsacien diplômé d'HEC, Emile Bœspflug (1869-1951), qui devint l'associé de son beau-frère et prit la direction financière et commerciale de la société. En 1937, les deux associés décident d'implanter une nouvelle usine loin de la région parisienne. Leur choix se porte sur Amboise où ils rachètent l'ancienne filature Patault-Leclaire. Située près de l'Amasse, l'usine avait l'avantage de posséder un puits avec une eau de très bonne qualité. A Amboise, Guilleminot-Bœspflug produisent des films que des ouvrières qui travaillent dans l'obscurité, « les bobineuses », se chargent d'enrouler. Après la Seconde guerre mondiale, l'usine se diversifie et produit des films pour Radiomédicale, Radio dentaire et Radiométallographie. De quelques m2 en 1946, la production s'élèvera à  plus de 3 millions de m2 malgré la concurrence de Kodak, Agfa, Gevaert et, bientôt, Fuji. Signe de sa bonne santé, l'entreprise, qui compta jusqu'à  182 personnes sur le site d'Amboise, instaure le travail en 3/8 en 1970. Le déclin commence avec la fermeture de l'usine de Chantilly en 1991. Guilleminot-Bœspflug regroupe sa production de papier photo en Touraine. Elle propose à  sa clientèle 60 qualités de films, 30 de papiers plus 30 de produits divers. Cela ne suffira pas à  sauver l'entreprise. Une première vague de licenciements à  lieu en 1990 puis d'autres en 1993. L'usine d'Amboise ferme quand la société est déclarée en cessation de paiement le 24 décembre 1994. Les 13 et 14 mars 1995, une vente aux enchères du matériel, des produits et des matières premières a lieu dans la cour de l'usine. De Guilleminot-Bœsfplug, il ne reste plus aujourd'hui que les boîtes de plaques photographiques que l'on trouve fréquemment dans les brocantes et la mention « Guilleminot-Bœsfplug » au verso des cartes-photo produites par millions pendant le premier quart du XXe siècle.

Liste des commentaires Statue Maréchal Joffre :

- Un peu d' histoire… De 1914 à 1916, le général Joffre, commandant en chef des armées française, installa son G. Q. G. -Grand Quartier Général- dans l’hôtel du Grand Condé. Le général habitait dans la villa Poiret, toute proche. C’est donc de Chantilly que partirent tous les ordres donnés par Joffre durant les deux premières années de la Grande Guerre, avant que celui-ci ne soit remplacé par Nivelle. En souvenir de sa présence, la ville fit ériger une statue. Le maréchal Joffre vint en personne l’inaugurer le 21 juin 1930. Ce fut sa dernière apparition publique. Cette même année, l’avenue de la gare prit le nom d’avenue du Maréchal Joffre.

Liste des commentaires Temple de vénus :

- Beau point de vue à faire lors de la visite du Domaine de Chantilly.

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