Contacter un site historique à Montignac, 24290

Liste des commentaires Lascaux II :

- Site des grottes de Lascaux, refait bien entendu puisque l’original ne peut plus être visité et pour cause  ! Visites guidées et sur rendez-vous avec inscription vía internet, par petits groupes d’une douzaine de personnes. Tout est semblable à l’originale et très joli, les peintures rupestres sont magnifiques et l’ambiance nous plonge dans le temps. Ensuite il y a des reproductions au musée ou l’on peut les observer de très près, comptez trois bonnes heures pour la visite, des parkings sont à disposition et gratuits. La seule chose que je n’ai pas aimé c’est le bâtiment qui est en béton brut mais pour le reste c’est top. Je recommande pour une sortie en famille.

- A faire impérativement, peu de monde c'est la première grotte reproduite de l'originale au monde, très belle présentation par un guide passionnant et passionné, de plus écrivain. Accès facile mais pas en fauteuil roulant. Parc ombragé et de nombreuses tables de pique-nique. Personnel agréable.

- Une très belle reproduction des grottes  ! Le guide était très intéressant et passionné. La visite dure 1h, je pense que l'on a passé autant de temps dehors sur l'histoire de la découverte de la grotte que dans la grotte elle-même car c'est une petite partie, on reste un peu sur sa fin. Mais dans l'ensemble, c'était quand même bien. PS : Malheureusement nous ne sommes ni scientifiques, ni copains avec le comité, ni président donc nous ne verrons pas les vraies grottes, quel dommage  !

- Nous avons fait Lascaux II La visite dure 1h, notre guide du jour était extra, explicite, drôle, gentil. C'est très agréable. La partie de la grotte reconstituée est rapide, on reste sur sa faim et pourtant il a fallu 11 ans pour la reproduire. Les peintures représentées sont uniques et pour certains on les trouve uniquement a Lascaux ce qui a fait la renommée de cette grotte. Trop de monde en ce jour de visite, il devrait réduite le nombre, car le guide parle alors qu'une partie du groupe se trouve à 10 mètres dernière coincé par l'allée étroite et n'entend pas tout et ne voit rien  ! Penser à réserver a l'avance  ! C'est complet 4/5 jours a l'avance en haute saison. Ne prenez pas la visite groupée avec le parc du Thot, le parc animalier est sans intérêt (quelques animaux et le tour se fait en 30 minutes) garder votre argent pour des visites plus intéressantes, il en manque pas dans le département.

- L'intervention du guide est passionnante. Si vous visitez la Dordogne c'est une destination à ne pas manquer.

- La visite était tout simplement parfaite  ! Le guide Justin était clair et passionné  ; merci à lui. La visite est beaucoup plus authentique, immersive, intéressante et intimiste que Lascaux IV. Un incontournable de la région.

- Je trouve Lascaux II complémentaire à Lascaux IV et n'a pas à rougir du fait de sa conception plus ancienne, qui lui donne justement un charme fou. La visite guidée est excellente. Bravo à ceux qui la font vivre.

- Un moment extra en famille. Et un guide vraiment top et passionné. Même s'il s'agit d'une reproduction, cette visite fût incroyable.

- Je recommande.

- Les informations que l'on apprend lors de la visite sont très intéressantes. Et la grotte est magnifique.

Liste des commentaires Le Regourdou :

- Nous avons raté Lascaux arrivés un peu tard dans l'après-midi. Nous regardons ce qu'il y a à visiter à proximité et tombons sur Le Regourdou. Un coup de fil et on me dit Nous vous attendons. Que dire de cette visite et de la gentillesse des personnes qui nous accueille  ? Extraordinaire et pas déçus du tout. Y est racontée la vie d'un homme simple, à la poursuite d'un rêve, celui de trouver une galerie menant à la grotte originelle de Lascaux. Il travaille comme agriculteur le jour et creuse la nuit autour de son humble masure et ce duranttoutesavie. Et au lieu de trouver une autre entrée il découvre un site néandertalien vieux de 80 000 ans. Une visite atypique, haute en émotions et très intéressante se terminant par le parc des ours A voir absolument.

- Très beau site à voir. La guide est très intéressante. Une très belle histoire racontée avec passion. Vraiment très sympa. Impressionnant également de voir des ours. Je recommande vivement. Également accessible pour personne à mobilité réduite.

- Nous avons visité ce site au mois de juillet et nous avons été ravis  ! Que ce soit le site, petit certes mais chargé d'histoire et regorgeant de vestiges, les personnes, que se soit la guide passionnée et passionnante ou la dame de l'accueil très gentille, la visite des ours, un moment magique. À quelques mètres de Lascaux un site historique à taille humaine. Nous recommandons aussi fortement le snack, avec un menu du jour (10euros50 si je me souviens bien) avec des produits frais et un personnel très sympathique là aussi. Nous reviendrons avec plaisir voir les oursonnes  ! Merci beaucoup.

- Très bel endroit, plein d'histoires sur M. CONSTANT, ses fouilles et ses ours. Des animatrices très calées sur l'histoire du site, enrichissant et intéressant. Je recommande. Promenade effectuée avec des enfants de 6 et 8 ans.

- Vous découvrirez un site dans son jus, qui a conservé son âme, son atmosphère, son authenticité : l'histoire de ce lieu est cocasse et ses découvertes, très utiles aux préhistoriens. Les ours qui y vivent, bouclent la boucle. Lila la guide est intéressante, adaptative et passionnée. On peut y manger sur place, à l'ombre des arbres avec une jolie vue forestière. A conseiller.

- Site modeste par rapport au grand frère Lascaux situé sur la même colline (l'original est à 800m), cet endroit est pourtant un lieu essentiel dans l'histoire de l'humanité avec une tombe construite de plusieurs dizaines de milliers d'années. Personnel très compétant et accueillant. La présence de quatre ours bruns que les enfants peuvent nourrir en fait une sortie familiale très agréable. À voir  !

- N'hésitez pas à aller leurs rendre visite.

- Visite qui vaut le détour avant ou après Lascaux. La combinaison d'une découverte de squelette de Néandertal puis de vrais ours est originale et chacun y trouvera son compte. De plus, l'équipe est vraiment énergique pour faire découvrir ce site.

- Site très sympa à découvrir, beaucoup moins touristique que les grottes de Lascaux pas très loin mais assez exceptionnel de voir le squelette de la plus vielle sépulture de Neandertal d'Europe. Le parc à Ours est très sympa, mais un peu trop mis en avant par rapport au reste.

- Sur les abords le parc ne semble pas intéressant mais une fois entrée il est super intéressant. On y découvre l'histoire d'un homme qui a fait une grande découverte, un musée de la préhistoire très enrichissant et pour clore le passage aux ours. La guide a été super, je vous conseille la visite du parc  !

Liste des commentaires Écluse de Montignac :

- Probablement la plus facile à voir des écluses de la Vézère, car elle est située juste à côté du «nouveau» pont D704E2. Aussi visible depuis le sentier pédestre du côté opposé à proximité de la location de canoë. Le barrage de dérivation a été démoli et la pierre a été recouverte d'arbustes et même d'arbres. J'ai préparé le mémoire suivant pour mettre en contexte les écluses d'Aubas, Montignac, Losse, Thonac et Saint-Léon. En 1604, il fut suggéré à Henri IV d'élargir le lit de la Vézère pour y faire passer des trains de bois. En 1606, il fut décidé de canaliser à la place de la Vézère. Les communes de Sarlat et Brive ont apporté une somme de 150 000 francs. L'idée était de canaliser la rivière entre Allassac et la Dordogne pour la rendre navigable au moins six mois par an. En 1669, l’ingénieur de Louis XIV Ferry, dresse son «Recueil de cartes, plans et profils d’ouvrages réalisés pour la navigation des différents fleuves de Guyenne». Le plan général de la Vézère montre 6 écluses en pierre à Terrasson, Aubas, Montignac, Thonac, Saint-Léon et une structure en bois à Limeuil. Mais l'argent a en quelque sorte disparu sans produire grand-chose. Dans les années 1786-1788, l'inspecteur général des Ponts-et-Chaussées, reprend le projet. Grand ingénieur, Brémontier envisage la possibilité de pousser la navigation jusqu'à Tulle (remontée de la Corrèze) par la construction d'un total de 24 écluses et de canaux de dérivation. En 1791, la société Gitlard et Cie demanda au Conseil général de la Dordogne l'autorisation de rétablir la navigation sur la Vézère en lui accordant des droits de péage. De telles améliorations ont été projetées que la reconstruction de la route (romaine) Lyon-Bordeaux (1789) s'est arrêtée à Terrasson. Cependant, 1789 fut aussi l'année de la révolution, les travaux publics s'arrêtèrent et l'argent disparut. Les travaux de canalisation reprennent sous le nom de «Canal du Duc de Bordeaux», en hommage au petit-fils du roi restauré, Henri d'Artois. L'ingénieur en chef Conrad (de Ponts-et-Chaussées), a élaboré de nouveaux plans basés sur des écluses de 4, 55 m * 25 m équipées de portes cintrées, permettant le passage de navires de 35 tonnes. Les plans évoluent et 6 écluses de 5 m * 30 m, permettant des navires de 50 tonnes, sont construites entre 1826 et 1828 (à Aubas, Montignac, Losse, Thonac, Saint-Léon, la Grambaudie). Mais la Compagnie des canaux de la Vézère (ou la société Mévil) a donné la concession de construire et d'exploiter «à perpétuité» le canal, volontairement fondé en 1825, liquidé en 1830. D'une manière ou d'une autre, vous l'aurez deviné, l'argent avait disparu… Les travaux se poursuivent, des portes d'écluse sont installées en 1842. L'écluse d'Aubas est ouverte à la navigation en 1843, année même de l'ouverture du canal de Lalinde sur la Dordogne. Le développement de la voie ferrée, et son utilité avérée, a informé à l'abandon du projet. Bien que les navires aient continué à utiliser le fleuve, les travaux encore inachevés ont été remis à l'État en 1897. Le «Guide officiel de la navigation intérieure» de 1891 (ministère des Travaux publics), précise que la navigabilité de la Vézère s’étend, pour les navires de faible tonnage, de Terrasson à Limeuil, sur une longueur de 65 kilomètres. Mais: «La navigation est parfois fort difficile à cause des nombreux rapides ou la profondeur d’eau est très faible  ; le mouvement est d’ailleurs peu important et à peu près nul en été. » Sur la carte des voies navigables de France dans les manuels de géographie des années 1930, une ligne bleue ourlait le cours de la Vézère jusqu'à Terrasson, où une ancre indiquait que la ville était le dernier port sur le fleuve. Malgré la déclassification officielle de la Vézère comme voie navigable le 28 décembre 1926.

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